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Sicardartpaysloire |
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savoir |
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| Ai Weiwei | |||
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This reminds me of my father. I don't think he has anything that's worth my respect |
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or my pride. But at least, he had gone to the prison of Kuomintang and had been exiled for 20 years. |
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I admire him for this point. At least, I haven't done this yet. |
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in catalogue Body Media
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extrait de l'interview avec Ai Weiwei par Shi Jian et Feng Keru |
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pour tout savoir sur Ai Weiwei biographie, bibliographie, expositions, collections. |
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| Martin Barré | |||
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Par son mélange contradictoire entre la rigueur, voire l'austérité de son travail, et son art jubilatoire, |
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sa façon si particulière d'inscrire la couleur sur l'espace du tableau, Martin Barré est un peintre de qualité |
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qui a gardé sa fraîcheur. Il mérite d'être mieux connu que par les quelques spécialistes et amateurs |
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que nous sommes. |
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Alfred Pacquement directeur du Musée national d'art moderne. |
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| Collection du F.R.A.C Pays de la Loire | |||
| haut de page |
pour tout savoir et voir sur Martin Barré |
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| Aï Estelle Barreyre | |||
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A Fleur : prix Q.P.N. 2012 |
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En prenant pour thème l'identité et le processus de construction de l'individu en tant qu'être unique |
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et public ( transidentité et androgynie ), je m'attache à soulever des questionnements quant à notre |
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subjectivité de jugement et de classification des personnes par leur genre d'apparence. |
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Entre documentaire et fiction, A Fleur est une ballade narrative visuelle. Les diverses personnes |
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représentées sur les portraits présentent une ambiguité de genre, face à laquelle le regardeur est invité |
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à se questionner sur les raisons de son positionnement face à leur genre. |
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Est-ce un homme ? Est-ce une femme? Pourquoi? |
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| Aï Estelle Barreyre | |||
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| www.qpn.asso.fr | |||
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pour tout savoir et voir sur Aï Estelle Barreyre |
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| Neal Beggs | |||
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L'oeuvre de Neal Beggs est attachée à une forme d'aventure particulière : l'escalade. | ||
| Ex-alpiniste, il a gravi de façon semi-professionnelle de nombreux sommets, faisant | |||
| de son expérience un lifestyle. Une attitude qu'il restitue dans son oeuvre en tentant d'invalider | |||
| cette limitequi séparerait l'art de la vie. | |||
| Guillaume Mansart | |||
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extrait de la présentation de The Helvetic System collecion FRAC Carquefou |
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| Collection du F.R.A.C Pays de la Loire | |||
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pour tout savoir et voir sur Neal Beggs |
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| Ben | |||
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" Je cherche systématiquement à signer tout ce qui ne l'a pas été, a-t-il pu déclarer. | ||
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Je crois que l'art est dans l'intention et qu'il suffit de signer. Je signe donc : les trous, les boîtes |
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mystères, les coups de pied, Dieu, les poules, etc... |
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Je vais être très jaloux de Manzoni qui signe la merde et qui me volera l'idée des sculptures vivantes. " |
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extrait de La Baule privilèges 2009 présentant l' exposition à la galerie JCM Billy La Baule. |
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pour tout voir sur Ben |
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| Julie Béna | |||
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Procédant par décalages, glissements, déplacements, Julie Béna détourne des images et des objets |
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quotidiens. Ils deviennent peu à peu les sujets de multiples fictions, étranges et poétiques. |
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A travers l’installation, la photographie, la vidéo, le son ou la performance, l’artiste explore le moment |
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de la transition, à l’image du passage séparant la nuit de la tombée du jour. |
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Cet équilibre ténu révèle ce qui ne se voit pas au premier regard, ce qui se joue dans un moment |
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d’attente, ce que provoque le hasard imperceptiblement. |
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Marie Bechetoille |
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pour tout voir sur Julie Béna |
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| Pierre Besson | |||
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L'univers de Pierre Besson est un monde d'images fabriquées, architectures et paysages factices |
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insérés dans des caissons lumineux ou constructions reproduisant des architectures réelles |
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à une échelle réduite. |
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L'architecture est dominante mais mise en place avec les moyens de la photographie et de l'ordinateur. |
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extrait du communiqué de presse de l'exposition Insight 17.10 2008 15.02 2009 |
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musée des Beaux-Arts d'Angers |
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| Collection du F.R.A.C Pays de la Loire | |||
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pour tout savoir et voir sur Pierre Besson |
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| Delphine Blais | |||
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Delphine Blais puise son inspiration dans l'esthétique asiatique qui l'attire depuis toujours. |
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Ses assemblages prennent la forme de longues silhouettes en patchwork de couleurs. |
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Au sommet des stalagmites naïves sont posés des visages aux allures d'estampes japonaises. |
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pour tout savoir et voir sur Delphine Blais |
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| Michel Blais | |||
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Je me suis mis à construire ces grandes formes de bois, appelées “ perchoirs pour l’âme errante |
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de Jean Dubuffet ”. Comme une dernière réponse à la dette intellectuelle que j’avais envers lui. |
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Il m’a ensuite été dit que ça ressemblait un peu à certaines formes de son “ Coucou Bazar ”. |
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Ce n’était pas prémédité, mais subconsciemment comme une petite improvisation à partir de ce thème |
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grandiose. |
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Michel Blais extrait de l'introduction à son
site
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| Collection du F.R.A.C Pays de la Loire | |||
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pour tout savoir et voir sur Michel Blais |
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| Olga Boldyreff | |||
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L'oeuvre d'Olga Boldyreff concilie les sources de l'art populaire russe et les formes de la tradition | ||
| occidentale ( post-minimalisme, antiforme, arte povera ) : le choix des oeuvres et des artistes permet | |||
| d'approcher au plus près ce mélange des genres et cette fusion des styles recherchés par l'artiste. | |||
| introduction à l'exposition 22.10 2010 02.01 2011 Musée de Nantes | |||
| Collection du F.R.A.C Pays de la Loire | |||
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pour tout savoir et voir sur Olga Boldyreff |
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| Sylvain Bonniol | |||
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Visions acoustiques constituent une immersion photographique dans l'univers scientifique de l'étude |
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et des mesures de phénomènes ondulatoires. J'ai choisi d'interpréter ces lieux, ces laboratoires, |
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en tant que photographe : mon regard est en permanence travaillé par la transformation du visible |
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en visuel. Comme un archéologue je fouille des constructions qui me sont étrangères, le plus souvent |
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ignorées du public, énigmatiques constructions mises à l'écart de nos espaces de vie et qui semblent |
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appartenir à un autre monde. |
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introduction à l'exposition Visions acoustiques 08.09 2010 13.10 2012 |
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Galerie RDV Nantes Lieu associé à la Q.P.N. |
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| www.qpn.asso.fr | |||
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pour tout savoir et voir sur Sylvain Bonniol |
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| Brassaï | |||
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Après des études dans les écoles des Beaux-Arts de Budapest et de Berlin où il s'initie à la peinture |
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et la sculpture, Gyula Halàsz, né en 1899 à Brasso en Hongrie, adopte en 1930, alors qu'il s'est installé |
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![]() |
à Paris en 1924, le pseudonyme de Brassaï. Il choisit alors de devenir photographe. |
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Il utilise très vite l'objectif pour capter l'atmosphère fascinante des nuits parisiennes. Ces premiers |
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paysages nocturnes inaugurent toute une série de photographies, témoins de longs vagabondages |
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dans le Paris excentrique de la nuit, loin des sites connus. Il sillonne les rues, la plupart du temps seul, |
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mais parfois accompagné d'amis noctambules comme Henry Miller avec qui il entretient une longue |
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amitié. Brassaï réalise toujours lui-même ses tirages photographiques, en chambre noire. |
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Ces clichés sont réunis en 1932, dans son premier recueil, le célèbre Paris de Nuit, préfacé par |
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|
Paul Morand. |
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"C'est pour saisir la beauté des rues, des jardins, dans la pluie et le brouillard, c'est pour saisir |
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la nuit de Paris que je suis devenu photographe." (archives Gilberte Brassaï, non daté) |
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Avec Paris Secret, il part à la recherche d'images toujours plus insolites, plus inquiétantes. |
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Bien qu'elles succèdent directement aux autres, elles ne sont livrées au public qu'en 1976. |
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extrait du texte présentant l'exposition à La Chapelle de l'Oratoire Nantes 2009 |
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pour tout savoir sur l'exposition |
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| Guy Brunet | |||
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Brunet peint avec une liberté détachée de toutes les contraintes serviles envers les modes. |
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Ses qualités picturales lui font affronter avec audauce la figure humaine dont son pinceau sensuel |
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et nourri exprime la fragilité des chairs avachies par le temps. C'est par un cadrage inventif |
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que ses scènes rompent avec les maîtres anciens dont il revendique l'héritage. |
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Lydia Harambourg |
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extrait de la Gazette de Drouot janvier 2008 |
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| Collection du F.R.A.C Pays de la Loire | |||
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pour tout savoir et voir sur Guy Brunet |
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| Patrick Burban | |||
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Grandes Charpentes en noir et en lumières saturées. Patrick Burban se réalise au travers de |
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cheminements poétiques débouchant, au détour d’une question, sur de patientes prises |
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de possession en photographies pour dire cette scrupuleuse lueur aux murs martelés d’encre sombre. |
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Jean-Louis Vincendeau
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extrait de Les prophéties miniatures |
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| Collection du F.R.A.C Pays de la Loire | |||
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pour tout savoir et voir sur Patrick Burban |
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| Jean Carzou | |||
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Il plaît par son côté théâtral. |
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Ses peintures aux couleurs vives, variant des tons chauds rouges, aux bleu-verts, en passant par les tons |
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![]() |
soufrés, véritables " arrêts sur images ", semblent figées dans les inextricables traits de son graphisme |
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| acéré et la rigueur de ses perspectives. | |||
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Ce côté " dessinateur " du peintre que l'artiste veut être avant tout, se retrouve dans la verticalité de ses |
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| caténaires, cathédrales, palais ou forêts. | |||
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La femme, gracieuse, nue ou parée est essentiellement de profil car une fois encore, c'est bien le trait |
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qui circonscrit mieux la forme. |
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Poète, il peint un monde imaginaire et de légendes oscillant entre la réalité et la nostalgie du temps |
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passé: créatures errantes sur des places désertes, palais en ruines ou bateaux aux mâts sans voiles... |
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Pour décrypter ce monde mystérieux, aller au-delà de l'image immédiate, il nous suffit de repérer |
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les nombreux symboles ( portes, roues, arbres, portiques ) qui se retrouvent dans nombre de ses toiles. |
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| Daniele Sicard | |||
| haut de page |
pour tout savoir sur Jean Carzou: biographie, bibliographie, catalogues, expositions, évènements. |
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| Philippe Caurant | |||
| C'est à Nantes, où il avait préparé son post-diplôme à l'ERBAN en 1994, que Philippe Caurant a choisi | |||
| de s'installer il y a maintenant cinq ans, nourri des nombreuses expériences et rencontres qu'il a pu vivre | |||
| au cours des années précédentes, principalement passées hors de France, à Rotterdam puis à | |||
|
|
Glasgow. Cinq années au cours desquelles un travail d'atelier assidu, isolé et concentré, a permis à cet | ||
| artiste de quarante ans de cristalliser des années de pratiques et de recherche, de confrontation et | |||
| d'échanges, dans une peinture assumée, qui a su trouver sa place à la fois dans un parcours personnel | |||
| et sur une scène artistique européenne où "sa peinture succède à la modernité de façon inattendue et | |||
| imprévisible." (Denys Zacharopoulos.) | |||
|
C'est ce travail - récemment montré lors d'expositions personnelles à la Donation Prassinos - 2006 |
|||
| que Le Ring et la galerie RDV (Nantes) s'associent pour consacrer une double exposition à une oeuvre | |||
| picturale qui associe au geste de la peinture une densité matière-surface résolument contemporaine. | |||
| " De figure, il n'y en a d'autre dans la peinture de Philippe Caurant que le tableau lui-même. Le tableau | |||
| est à la fois l'objet et le sujet de sa peinture.Ce ne sont pas des images qu'il produit mais de véritables | |||
| icônes, c'est-à-dire des objets du réel, au sens où l'entendait Etienne Gilson, doués d'une matérialité qui | |||
| lui confère leur "présence" dans l'espace." (Jérôme Poggi) | |||
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extrait du texte présentant l'exposition au Ring Nantes 2009 |
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pour tout savoir et voir sur Philippe Caurant |
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| Chun-Yi Chang | |||
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Mon divan est une barque perdue sur les flots; ce sifflement subit, c'est le vent dans les voiles (...). |
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Et je m'endors, bercé par les bruits de Paris.* |
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Bien d'autres poètes et peintres rêvent de la ville-océan, tel Yvonne Caroutch entendant |
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à l'aube des rumeurs de coquillage vide ** - cette même ville-océan parisienne |
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que Gustave Courbet a l'intention de peindre depuis les combles de Sainte-Pélagie. |
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Chun-Yi Chang |
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* Gaston Bachelard La pratique de l'espace Quadrige 1998 p. 43 |
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** Yvonne Caroutch Veilleurs endormis Debresse p. 30 |
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pour tout savoir et voir sur Chun-Yi Chang |
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| Chang Chungliang | |||
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Ce que je vois, ce que je suis et d'où je viens. |
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Chez Chungliang. |
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Espaces clos, paysages ne sont pas une image fixe. |
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La photo ce n'est pas l'instant donné, l'instantané. |
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Un document, un moment. Mais une mémorisation, une remémorisation. |
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L'instant, l'instinct. Il faut choisir. |
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Ce qu'il nomme photomontages sont en fait des impressions, des sensations. |
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Un condensé. Un concentré de temps encore présent. Où les portes s'ouvrent et se referment. |
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Où les gens circulent et se reposent. Et l'oeil. |
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Romantique, Chungliang intime s'expose. |
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Garantis traditionnels, et neufs ses paysages. Le papier d'origine est chinois. |
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Montagnes à lettrés, peintres, poètes. |
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Dao. |
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Sa culture, voyage avec le voyageur. L'artiste. |
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pour tout savoir et voir sur Chang Chungliang |
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| Chen Meitsen | |||
![]() |
L'univers tel qu'il est. Familier. Rassurant. |
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Pomme, artichaut, melon, pastèque … Tous les légumes du monde en apesanteur dans ce noir profond, |
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affamé, végétarien. |
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Et parmi tous ces astres, planètes, astéroïdes, qui peuplent notre ciel, l'oeil s'égare. Cherche cette terre |
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qui doit ressembler à une patate (douce). |
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Evolution, révolution. Glaise, homme, glaise. Minéral, animal, aminé. |
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L'oeuvre de Mei-Tsen est en perpétuel glissement du minéral au végétal. Du végétal à l'organique. |
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Aux cicatrices de la vie. |
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Chez Chen Mei-Tsen tout est beau. Pensé. Réfléchi. |
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pour tout savoir et voir sur Chen Meitsen |
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| Chen Ping | |||
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I tries to visualise the modern tension between mankind |
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and his environment and to explore the ancient Chinese |
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philosophic concept : “ Man and universe are one ”. |
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Chen Ping |
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| www.chinesenewart.com | |||
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pour tout savoir et voir sur Chen Ping |
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Chen Yiching |
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Paul Claudel Le soulier de satin |
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Le Japonais Oui, c'est une grande leçon de silence que les peintres supendent autour de nous. |
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Même cette troupe d'enfants qui jouent, cela devient en un instant dès que le papier l'attrape |
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sous le pinceau, |
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Silence et immobilité, un spectacle pour toujours.* |
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Une invitation à se taire devant l'extrême beauté. La peinture de Chen Yiching. |
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* Paul Claudel Théâtre II Bibliothèque de La Pléiade Gallimard nouvelle édition 2011 p.458 459 |
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pour tout savoir et voir sur Chen Yiching |
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Chen Ying-Teh |
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Chen Ying-Teh est un grand artiste. Sa Chine est bleue, bleue comme un monochrome |
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de Klein, mais avec du dessin et des idées derrière le dessin. Sa Chine n'est pas celle |
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des mandarins : c'est celle des travailleurs, des pelleteuses qui sont comme de gros |
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insectes dressés, des enfants ( ce sont les siens ) qui ressemblent à d'adorables |
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grenouilles de Jade. Les ouvriers sont casqués et hiératiques, et il en résulte |
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une sorte de fresque, cantique à la gloire du travail. |
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Jean Bouret in Les Nouvelles Littéraires 23.12 1974 |
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|
pour tout savoir et voir sur Chen Ying-Teh |
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Bernadette Chéné poursuit depuis les années 1990 un travail de sculpteur qui insiste sur un rapport |
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privilégié aux matériaux : papier, bois, végétaux, minéraux…qu’elle accumule méthodiquement dans |
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|
ses installations, façonnant le paysage ou le lieu d’exposition. |
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extrait du communiqué de presse à l'occasion de l'exposition Bernadette Chéné, |
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autrement dit 12.07 07.09 2012 Abbaye du Ronceray Angers |
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| Collection du F.R.A.C Pays de la Loire | |||
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pour tout savoir et voir sur Bernadette Chéné |
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Chu Teh-Chun has been able to create an original language with which he continues to identify | ||
| in particular with the universe of wash painting. Today he remains one of the major painters of his | |||
| Chinese generation who had managed to impose his personal vision but without giving up his ties | |||
| to either the East or the West. His most recent wash paintings made this winter in Paris studio bear | |||
| witness to the fervor, the softness, the depth of a master who has become a sage. | |||
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Jean-Paul Desroches |
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conservateur du patrimoine, musée des arts asiatiques-Guimet Paris |
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in Alchemy wash painting |
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catalogue Chu Teh-Chun works on paper |
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| 11.03 05. 03 2008 Malborough New York | |||
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Chuang Tong-Chiao |
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J'ai envie de combiner les formes picturales que j'ai apprises, |
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surtout l’art géométrique et la peinture gestuelle, au lieu d’en inventer une nouvelle. |
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|
Je pars de ma culture mélangée et hybride pour insérer et mettre mon propre sens dans l’oeuvre. |
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Chuang Tong-Chiao |
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| www.chinesenewart.com | |||
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pour tout savoir et voir sur Chuang Tong-Chiao |
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Chung-Hing |
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La rivière coule sur ma paume |
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Et la source de la rivière sur ma paume |
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Est la montagne brumeuse du temps… |
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Chung-Hing |
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| www.chinesenewart.com | |||
| haut de page |
pour tout savoir et voir sur Chung-Hing |
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| Philippe Cognée | |||
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Je conçois le tableau comme un territoire, un territoire à occuper avec le corps. |
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|
J'aime marcher sur le tableau, le piétiner, pour l'accaparer, le sentir en moi. |
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Je pense que la peinture permet encore cette matérialité, un peu comme la sculpture... |
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| Philippe Cognée | |||
| haut de page | |||
| Collection du F.R.A.C Pays de la Loire | |||
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pour tout savoir et voir sur Philippe Cognée |
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| Robert Combas | |||
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Robert Combas est un fils de pauvre, de prolétaire communiste. Quand il sort d’un pareil milieu, l’artiste |
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n’est pas légitime dans le milieu de la culture, mais ça n’est pas bien grave, car il est légitime devant |
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l’histoire. Ceux qui font la mode du moment ne font que la mode du moment. Robert Combas est |
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au-delà : de son vivant, il est déjà dans l’histoire... |
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Michel Onfray |
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extrait de l'interview du 01.07 2011 à Argentan, publié dans le site de Robert Combas |
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| haut de page | |||
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pour tout voir sur Robert Combas |
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| Baptiste Debombourg | |||
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Le travail de Baptiste Debombourg reproduit jusqu'à l'absurde les codes d'identifIcation de masse. | ||
| Jusqu'où peut aller l'hystérie collective dès lors que le refoulement désagrège nos désirs. | |||
| Le monumental, le triopmphal se transforment alors en petits actes pour agir à l'occasion ensemble, | |||
| de sourires en coin en acerbes participations... | |||
| Claude Lévêque | |||
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extrait du communiqué de presse présentant l'exposition Césium à la Galerie RDV Nantes 2012 |
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| haut de page | www.baptistedebombourg.com | ||
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pour tout savoir et voir sur Baptiste Debombourg |
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| Olivier Debré | |||
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Je nourrissais des couleurs, un signe imaginaire, où j'extrayais de la réalité vécue l'essence et le principe, |
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l'essentiel de l'émotion. La couleur agissant par elle-même allait bientôt s'étaler sur la toile, déborder |
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les rectangles rigides et le signe devenir espace ; le geste, la trace du temps, transposition du vivant. |
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Olivier Debré |
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| haut de page |
pour tout savoir et voir sur Olivier Debré |
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| Wim Delvoye | |||
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Se poser la question du territoire et du nomadisme est évident pour un Frac dont la collection |
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s'est constituée dans la perspective d'être diffusée dans des lieux divers sur des territoires proches |
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et lointains. |
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extrait du communiqué de presse de l'exposition
Nomad-Ness 26.10 16.01 2011
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Le Hangar à bananes Nantes |
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| Collection du F.R.A.C Pays de la Loire | |||
| haut de page |
pour tout savoir et voir sur Wim Delvoye |
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| Hervé Di Rosa | |||
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Les gros nez, les bouches géantes et les mentons proéminents caractérisent les personnages habitant | ||
| les images de cette série. Ils vivent des situations banales mais aussi de grandes et dangereuses | |||
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aventures. Leur monde est parallèle au nôtre avec ses saisons, ses plages et ses montagnes, ses |
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|
jungles et ses villages, ses savants fous et ses robots, ses guerres aériennes et ses jardins secrets, |
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ses trains et ses rouleaux compresseurs, ses grottes mystérieuses et ses vallées riantes. |
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Ces personnages grotesques, ces héros sans nom, n'ont pas de passé, pas d'histoire, peut-être pas |
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d'avenir, purs éléments décoratifs récurrents et obsessionnels qui traversent nos songes. J'essaye |
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d'agrémenter l'impossible, l'irréel et le merveilleux du quotidien. Hervé Di Rosa est-il grotesque ? |
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extrait du texte présentant l'exposition Grotesque à la galerie JCM Billy La Baule 2008 |
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| haut de page |
pour tout voir sur Hervé Di Rosa |
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| Felipe Diez Sada | |||
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Il peint des putes. D'autres couchent avec. |
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| Le monde est violent. La violence, c'est l'expressionisme. | |||
| Mais il y a aussi des abstractions dans sa peinture. | |||
| L'homme l'intéresse, d'abord. | |||
| Sa peinture conteste. Lui, ne milite pas. | |||
| Felipe, mon ami. | |||
|
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| haut de page | |||
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Evor | ||
| Durant les six mois de ma résidence S.M. j'ai cherché à libérer des formes d'ivresse, en exaltant ou | |||
| corsetant. Dans un esprit couture suggestif, j'ai songé à des courtisanes aguicheuses, des guerriers | |||
| dandys arrogants, des artifices improbables et ambigus. Etendards totémiques, vanités sombres et | |||
| mélancoliques, mélopées animales, modules aux allures de sextoys, tout est à double tranchant: de | |||
| l'envie à l'écoeurement, des chromes aiguisés aux cuirs lacés, de l'organique dompté aux géométries | |||
| chaotiques ... Armada est l'occasion de présenter une partie des oeuvres réalisées lors de cette | |||
| résidence | |||
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Evor - extrait du texte présentant l'exposition au Lieu Unique Nantes 2009 |
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| www.lelieuunique.com | |||
| haut de page |
pour tout savoir et voir sur Evor |
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Une grande fille toute simple. |
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Elle est la poésie. |
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C'est l'enfance qui fait le poète. |
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Mon coeur s'envole au milieu des fleurs et suit le cours de l'eau |
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Mon espérance court tous les lieux enneigés |
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Je veux monter au sommet de la montagne et chanter en choeur avec le vent |
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Comme à cet instant présent on aimerait être à côté d'elle. |
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C'est précisément pourquoi on entre avec émotion. Que dis-je, avec amour dans sa peinture. |
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| www.chinesenewart.com | |||
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pour tout savoir et voir sur Fan Xueyi |
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Du monologue reconstitué par Omer Fast sous la forme d'un cut-up frénétique d'extraits de JT diffusés |
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| sur CNN en 2001, émerge l'expression d'une pensée commune post-11. 09, celle d'un "je" multiple qui | |||
| ose douter, révélant au passage les nombreuses adresses directes au spectateur généralement | |||
| enfouies sous la masse d'informations déversées lors des journaux télévisés. | |||
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extrait du texte présentant l'exposition collective De l'Interprétation à Zoo galerie Nantes 2009 |
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pour tout savoir sur Omer Fast |
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Depuis 2004, Sarah Fauguet et David Cousinard ont entamé une collaboration artistique qui oriente |
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leurs recherches vers la création d'environnements sculpturaux où objets et accessoires apparaissent |
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| comme les excroissances d'un système fonctionnel. | |||
| Embarqué dans un monde agité et décalé, le visiteur se trouve immergé dans la pratique des jeux | |||
| d'échelles, de l'objet sculptural au monument, ce qui le renvoie inévitablement à la physicalité des | |||
| matériaux autant qu'à celle des corps. | |||
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extrait du texte présentant l'exposition au Tripode Rezé 2009 |
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| haut de page |
pour tout savoir sur Sarah Fauguet et David Cousinard |
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Kaixuan Feng |
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Incruster ma propre image dans une autre image : modifier, transformer, déplacer, |
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recadrer, sélectionner, inverser, masquer, balancer, contraster, saturer, teinter, colorer, |
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gommer, convertir, filtrer, associer, dissocier, verrouiller, magnétiser, fusionner,... m'intégrer. |
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| Kaixuan Feng | |||
| www.chinesenewart.com | |||
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pour tout savoir et voir sur Kaixuan Feng |
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Souffle immobile. Magie de l'image, réflection. |
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Il y a plus de ciel dans sa peinture. |
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Jing : Matière agitée où règne le silence, limpidité de jade, Qing. |
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1999 en France, exposition Zhang Daqian, Tang Haiwen, Zao Wou-Ki. |
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2011, exposition rêvée : Zao Wou-Ki, Chu Teh-Chun, Feng Xiao-Min. |
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| www.chinesenewart.com | |||
| haut de page |
pour tout savoir et voir sur Feng Xiao-Min |
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Dessiner, écrire, photographier, organiser des objets, des choses… se déplacer dans le temps, |
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l’espace. S’abandonner dans un paysage, une pierre, une voix, une couleur, une vie, des vies. |
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Il nous faut être présent à tout ça et pour tout ça. |
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Jean Fléaca
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| Collection du F.R.A.C Pays de la Loire | |||
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pour tout savoir et voir surJean Fléaca |
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Répertoire
géographique imaginaire de formes éclatées, divisées, pointillées.
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| Collection du F.R.A.C Pays de la Loire | |||
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pour tout savoir et voir sur Éric Fonteneau |
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Lieu privilégié. A part. En retrait. |
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Pour une collection de vies au pluriel. |
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Une succession de chapitres où défilent corps et portraits, nés de souvenirs disparus, revenus, |
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de visions remontées, réinventées, d'échos et de résonances, de bégaiements, d'effondrements, |
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de colère, de crainte, de nostalgie, de violence, de regards obliques et de tristesse. |
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| Fabienne Francotte | |||
| haut de page |
pour tout savoir et voir sur Fabienne Francotte |
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Il faut avoir perdu la tête pour se taper la tête contre les murs |
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Par une oeuvre majeure Gao Jie s'impose à notre regard. |
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Réinventer le quotidien, redimensionner l'objet, |
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pour faire naitre des sentiments d'étrangeté, d'inconfort. |
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La tête, toujours la tête. |
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Voilà une oeuvre pensée qui sape notre réflexion. |
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| www.chinesenewart.com | |||
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pour tout savoir et voir sur Gao Jie |
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Gao Shihe |
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Voyez ce que vous voyez. |
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| C'est simple. | |||
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C'est tout. Mais ce n'est pas rien. |
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C'est pur. |
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Gao Shihe, le talent à l'état pur. |
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pour tout savoir et voir sur Gao Shihe |
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Ge Feng |
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Peintre puissant qui nous parle des élans et des souvenirs, des colères et des patiences. |
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Qui nous dit aujourdh'ui, la grandeur et la fragilité de la peinture, la force et le doute de l'Artiste. |
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Raymond Tétard |
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Historien d'Art |
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|
Vice-Président de la Fondation Carzou |
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| haut de page | www.chinesenewart.com | ||
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pour tout savoir et voir sur Ge Feng |
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Les Immersions de Michel Gerson tiennent du process, elles procèdent de l'infiltration, d'un certain |
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|
entrisme au coeur d'une structure, d'une institution ou d'un milieu, d'une situation |
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|
Utilisant différentes techniques, les Immersions sont ainsi pour l'artiste le prétexte à dessins, vidéos, |
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|
peintures et autres détournements |
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S'immerger, c'est peut-être ça : une opiniâtreté mêlée à une discrète générosité. Un malin plaisir |
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à s'insérer dans des rouages et des réseaux dans lesquels l'artiste serait le chaînon manquant ; |
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|
en s'imprégnant, observant, jouant. Déclencher, occuper un interstice ? |
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|
Michel Gerson en a fait son paysage, son mode d'action. Comme s'il s'agissait d'un corps à chaque fois, |
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|
il l'a fait transpirer de tous ses pores. |
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|
présentation de l'artiste Galerie RDV Nantes |
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| haut de page | Collection du F.R.A.C Pays de la Loire | ||
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pour tout savoir et voir sur Michel Gerson |
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En dehors des clichés convenus, He Jianning délivre une peinture effervescente |
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|
et remuée, mais rarement tragique, émaillée de dérèglements organiques, |
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de larges pétales spasmés balayés par une houle éruptive, de traces |
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tourbillonnantes, de coulées de lave en fusion, de signes glissés et griffés, |
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|
de formes en spirales ou coagulées, de télescopages tour à tour nerveux |
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|
et pacifiés ... où des zones lacunaires sont compatibles avec la respiration |
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des pleins, ceci autour d'un centre qui constamment se dérobe et se reconstitue, |
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|
en célèbrant les
prestiges d'une matière signifiante.
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|
Gérard Xuriguera |
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extrait de " La matière et l'esprit " 27.01 2010 |
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pour tout savoir et voir sur He Jianning |
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Le béton est élevé au rang de matériau ultime et souverain. Son aspect passe du lisse au ciselé. |
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Une matrice l’anoblit çà et là d’une empreinte florale qui le lie au classicisme de la gare et aux théâtres |
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|
romantiques.Cette empreinte, inspirée d’un motif de soierie française du XVIIe a été agrandie à l’échelle |
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|
du bâtiment pour pousser le simple effet d’ornementation jusqu’à la mise en relief de la matière. |
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|
Ponctuellement, cette mise en relief est si creusée qu’elle perce la paroi de béton pour former des baies |
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en rosaces. |
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|
Karine Herman |
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pour tout savoir et voir sur Karine Herman |
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La forme. Simplement. |
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Formes organiques, d'abord. |
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Ses bois s'envolent lyriques, au ciel. |
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A partir des années 70. |
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Par des plans triangulaires où l'air et le métal s'entendent pour définir, élargir le champ visuel. |
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|
Cher Pierre Heyvaert, |
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assurément un des grands noms du renouveau de la sculpture au Québec. |
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| Hu Jiaxing | |||
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La photo pour décrire le paysage. Le pinceau pour l'écrire. |
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|
La nature, il connait çà. Hu Jiaxing. |
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A pied, à vélo il s'est mesuré à la grandeur sauvage, |
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|
glané les fragments d'un monde blessé par la vanité |
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des hommes. |
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Il nous restitue le paradis sur terre. Celui de Masaccio |
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|
d'où furent chassés Adam et Ève, à Santa Maria del Carmine. |
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|
|
C'est à la Pointe du Nez de chien, à " la limite trasversale de la mer " ( frontière entre espace fluvial |
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|
et maritime ), à Saint-Brévin-les-Pins, que surgit l'immense serpent de mer de Huang Yong Ping, dont |
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|
le squelette apparaît comme issu d'une fouille archéologique. En faisant apparaître sur les rives |
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|
de l'Europe une des figures majeures de la mythologie chinoise, Huang Yong Ping aborde comme |
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|
souvent dans son travail les notions d'identité et d'hybridité culturelle. La question environnementale |
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|
est également très présente dans son art où il met régulièrement au jour le paradoxe de l'homme |
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|
sciant la branche sur laquelle il est assis, tiraillé entre capacités créatrices et pulsions destructrices. |
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|
C'est une des lectures possibles de cette oeuvre : positionné sur l'estran, le squelette apparaît |
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|
au rythme de la marée, et accueillera peu à peu, faune et flore marines |
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extrait du texte présentant Estuaire <> Saint-Nazaire 2012 |
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pour tout savoir et voir sur Huang Yong Ping |
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![]() |
Ji Chang-Rim connaît bien la France, il l’aime. Il y peint depuis une dizaine d’années, développant dans |
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son intimité franco-coréenne, ses esthétiques propres : sentiment d’enveloppe aux nombreux grattés, |
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|
corps-paysages printaniers et tigresses détournant les couleurs. |
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| Hugues Pénot | |||
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pour tout savoir et voir sur Chang-Rim Ji |
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Jin Bo en 2 temps et 24 images seconde |
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La vie n'a pas la couleur de ses rêves : |
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Camaïeu gris ou brun. Incertitude. Mémoire lacunaire du Corps Paysage. |
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Invention, intention, accident : |
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0,125 seconde de jouissance pour faire vivre La Joconde, ressusciter les morts. |
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Redonner du souffle aux vivants. |
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C 'est beau. Efficace. Son oeuvre est de notre temps. |
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pour tout savoir et voir sur Jin Bo |
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Xiangyi Jin |
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A Xiangyi, | ||
| Sur la lune, tuzi prépare la pilule d'immortalité. | |||
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C'est l'époque du yin naissant. La vie s'efface. |
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Le regard bute aux quatre murs. |
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| Temps calme ... suspens. | |||
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Passagers là, et au delà, ceux qui restent savent l'impermanence. |
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| Être, c'est être nomade. | |||
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De tous ces idéogrammes qui qui les façonnèrent, ils ne retiendront que |
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|
Fu et Shou : bonheur et longue vie. |
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| L'aventure continue. Pour eux, demain, il y aura des îles. | |||
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pour tout savoir et voir sur Xiangyi Jin |
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Zhongli Jin |
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Une peinture qui dépasse son sujet. |
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Le papier, l'eau, l'aquarelle et le pinceau chinois, le qi. Surtout le qi. |
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A quoi bon montrer, écrire, décrire ? |
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La nature omniprésente s'efface et se recompose sous l'effet d'une sensibilité extrême, mêlée |
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|
à un savoir-faire oriental. |
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| www.chinesenewart.com | |||
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pour tout savoir et voir sur Zhongli Jin |
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|
C'est grâce aux tirages numériques que Sovann Kim a pu développer son oeuvre à la frontière du dessin, | ||
| de l'estampe, de la photographie. | |||
| Le travail de l'artiste tend à faire disparaître le sujet réel qui lui sert de support à sa création. Ses sujets | |||
| de nature principalement végétale et minérale servent de prétexte à sa recherche. Ce qu'il explore, c'est | |||
| l'univers d'un point, le plus infime qu'il soit, de sa matière. Il porte alors un imaginaire qui devient possible | |||
| en cristallisant une pensée, un objet qu'il magnifie. | |||
|
extrait du texte présentant l'exposition à la galerie Confluence Nantes 2010 |
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|
pour tout savoir sur Sovann Kim |
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Kim Kyung-Jin vit et crée à Séoul. |
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Dans une approche très coréenne, elle saisit les femmes urbaines et contemporaines |
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|
en respectant leur force propre, exposant une beauté des corps à la fois émouvante |
|||
|
et apaisée, une vraie relation à l’autre. |
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| Hugues Pénot | |||
| haut de page |
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Kweon Young-Bum, dont l’atelier se déplace sans cesse dans l’agglomération séoulite, se fait peintre |
|
|
|
d'une cartographie inachevée et non exclusive du monde : aux échelles d’un déluge annoncé, le tableau |
||
|
capte des traces de voyages fragmentés, décodant la relation étrange que nouent quotidiennement |
|||
|
la ville et la nature en Corée. |
|||
| Hugues Pénot | |||
| haut de page |
|
||
|
|
Avec mon travail, je raconte des histoires, montre des situations, qui prennent comme point de départ |
||
|
le quotidien et ses différentes réalités. Je n'invente pas de formes, je les récolte. |
|||
|
Pour développer mon vocabulaire, je répertorie régulièrement des formes, des signes. |
|||
|
Mes réalisations doivent être considérées comme des images où sont mis en scène des repères. |
|||
|
Je choisis toujours des moyens simples pour donner rapidement forme à mes idées. Mes pièces ne |
|||
|
sont pas des affirmations de valeurs, mais elles soulignent la fragilité des rapports qui maintiennent |
|||
|
la cohésion de nos environnements (physique, mental, politique, économique...), en posant toujours la |
|||
|
même question de positionnement : |
|||
|
- Comment être à la fois lucide et pragmatique ? |
|||
|
Ce travail autour de signes/repères me paraît important dans un monde en cours de globalisation |
|||
|
comme un outil de vigilance contre la standardisation de nos héros, mythes et besoins. |
|||
|
Dominique Lacoudre |
|||
| Collection du F.R.A.C Pays de la Loire | |||
|
pour tout savoir et voir sur Dominique Lacoudre |
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|
Lee Mi-Yae installée à Tchun-an près de Séoul, propose une peinture figurée de couches de lumière |
||
|
et d'ombres colorées, superposées; le vent y manipule la couleur, sa variété et ses contrastes, et s'en |
|||
|
empare parce qu'elle est une matière vivante. |
|||
| extrait du communiqué de presse de l'exposition du 10.09 au 30.09 2012 Galerie TrES Nantes | |||
| haut de page | |||
|
pour tout savoir et voir sur Lee Mi-Yae |
|||
| Mark Lewis | |||
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|
Artiste canadien initié à la photographie et se tournant vers le cinéma au milieu des annéees 90, Mark | ||
| Lewis tend vers une nouvelle approche des modes de production et de présentation de l'image en | |||
| mouvement. Il suit une logique de la fragmentation en disséquant les constituants du film pour en extraire | |||
| les composants propres au cinéma. Dans cette exploration du langage cinématographique jouant avec | |||
| un cinéma passé, Mark Lewis travaille cette matière même qu'est l'image ainsi que sa réception. | |||
| Les diverses problématiques qu'il aborde sont les notions d'archéologie du quotidien, la question de | |||
| l'urbanité et du paysage contemporain, les rapports entre figure et fond, entre art et cinéma, entre film et | |||
| peinture. | |||
| extrait du texte présentant l'exposition au Grand Café Saint-Nazaire 2009 | |||
|
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| haut de page |
pour tout savoir et voir sur Mark Lewis |
||
| Li Fang | |||
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Éblouissement. |
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Et ce non peint. |
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|
Toile vierge, vide. Gorgée de soleil. |
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| Et ce noir qui occulte la pupille, les visages. |
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| Grands aplats colorés. Purs. Fanés. |
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| C'est comme un souffle qui porte les couleurs. | |||
| Brûle, ronge, anime les corps. | |||
| Et l'oeil. Et l'esprit. Ailleurs. |
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|
pour tout savoir et voir sur Li Fang |
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| Li Shuang | |||
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|
Li Shuang, authentique, généreuse. Parfum de Renaissance. |
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Saveur. Ferveur. Saintes icônes. Madones. Secrètes féminités. |
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|
Oui, dit Luxun, j'ai volé le feu d'un pays étranger, mais c'était pour en cuire ma propre chair |
|||
|
dans l'idée que, si elle en prenait meilleur goût et que beaucoup de gens en profitent, |
|||
|
je n'aurais pas gaspillé mon corps* |
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|
* « Traduction serrée et Caractère de classe de la littérature », 1930, V. Cf. Essais choisis, t. I. p. 385. Cité in LUXUN pamphlets et libelles (1925-1936) présentation et traduction par Michelle Loi, François Maspero éditeur Paris 1977 |
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|
pour tout savoir et voir sur Li Shuang |
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Shutao Liao |
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To gain the true essence of existential experience of life, art has to pass over knowledge |
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to reach the instinctive irrational power of creativity fascination and imagination, |
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embracing the freedom of making. |
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My art is an overview, destruct and reconstruction of human consciousness through |
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symbolic depiction. |
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Shutao Liao |
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pour tout savoir et voir sur Shutao Liao |
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Lin Yuyan |
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Les images construisent une constellation qui traduit un mouvement de l’existence |
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|
par les tensions entre chaque image et les codes lisibles qui apparaissent |
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dans les images. |
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Lin Yuyan |
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pour tout savoir et voir sur Lin Yuyan |
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Liu Feng |
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Ce qui m'intéresse, c'est la vitalité des éléments naturels, pas leur forme. | ||
|
Liu Feng |
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|
pour tout savoir et voir sur Liu Feng |
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Wen-Yang Liu |
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|
Au début de ma recherche photographique, le travail du japonais Nobuyoshi Araki a attiré toute | ||
| mon attention. Surtout par la série " voyage sentimental ", écrite à la façon d'un journal intime qui note | |||
|
la vie d'Araki et de sa femme Yoko. Les photos sont envahies par l'amour, la mort et la sexualité. |
|||
|
|
|||
| " La lune dans l'eau " est ma première réalisation photographique autour de l'amour. | |||
|
Née dans le contexte d'une histoire que j'ai vécue. |
|||
|
Les images sont prises d'un point de vue de voyeur, et sont devenues les seuls témoignages |
|||
|
de ce temps-là. |
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| Wen-Yang Liu | |||
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|
pour tout savoir et voir sur |
|||
| Anthony Mc Call | |||
|
|
Au cours des années 1970, Anthony Mc Call, cinéaste d’origine britannique installé à New York, |
||
|
réalise une série de films de lumière solide à partir de figures géométriques simples, en particulier |
|||
|
celle du cône, tracées à même la pellicule. |
|||
|
Ces films sont destinés à être projetés dans un espace d’exposition sans fauteuils, ni cabine ou écran. |
|||
|
Ils laissent apparaître la formation progressive d’un cône de lumière qui sort du projecteur et crée une |
|||
|
sculpture de lumière autour et à l’intérieur de laquelle le spectateur est invité à circuler. |
|||
|
L’événement cinématographique n’est plus dans les images : il est la projection elle-même. |
|||
|
Aujourd'hui, Anthony Mc Call utilise le support numérique et explore dans un même mouvement, les liens entre dessin, cinéma et sculpture. |
|||
|
Vertical works récemment créés, convient le spectateur à un véritable corps à corps avec la sculpture. |
|||
|
extrait du communiqué présentant l'exposition au Life Saint-Nazaire 2009 |
|||
| haut de page |
pour tout savoir et voir sur Anthony Mc Call |
||
| Robert Malaval | |||
|
|
|
Artiste autodidacte, Robert Malaval (1937-1980) n'appartient à aucun mouvement, aucune école ou | |
| groupe constitué. Il a toujours refusé d'être figé dans une posture et, de 1956 à 1980, il multiplie les | |||
| activités: peinture, sculpture, arts graphiques, musique, urbanisme, environnements sonores...Pour créer, | |||
| il s'enivre de sons et de musiques, lesquels sont pour lui une véritable source d'inspiration. Il est l'un des | |||
| rares artistes français marqué par la culture rock. Foisonnant et inclassable, l'ensemble de son oeuvre | |||
| est fait d'inventions, notamment l'idée d'utiliser la paillette dans sa peinture pour animer la surface de | |||
| ses toiles. | |||
| extrait du journal de l'exposition au Musée des Beaux-Arts Angers 2009 | |||
| haut de page |
pour tout savoir et voir sur Robert Malaval |
||
| John Menick | |||
|
|
... L'information devient une rumeur diffuse, un ouÏ-dire, se dissolvant dans une répétition rassurante | ||
| jusqu'à l'acceptation inconditionnelle. | |||
|
John Menick en a fait un diaporama saisissant Hearsay, compilant une série de petites phrases |
|||
|
qu'il avait déjà entendues ou répétées, et dont aucune n'a pour l'instant été vérifiée ou infirmée. |
|||
|
Toutes sont donc plausibles. ... |
|||
|
extrait du texte présentant l'exposition collective De l'Interprétation à Zoo galerie Nantes 2009 |
|||
|
pour tout savoir sur John Menick |
|||
| Michel Nau | |||
|
|
Certaines de ses oeuvres sont des compositions en monochrome. |
||
|
Comme exprimé par le dicton chinois : " II y a cinq couleurs dans une seule encre ", toute la vitalité |
|||
| est transmise par les nuances et la juxtaposition des mouvements. | |||
| Dans d'autres peintures, l'artiste jongle avec la couleur, et les traits deviennent danses. Danses faites de | |||
| superpositions et de transparences tels des fragments de rêves en labyrinthes. C'est une quête sur un | |||
| chemin où le souffle et l'esprit se recherchent. Echo d'un Orient lointain mêlé à une aventure aux couleurs | |||
| d'Occident. | |||
| Chung-hing | |||
| haut de page | www.michelnau.com | ||
|
pour tout savoir et voir sur Michel Nau |
|||
| Pierrick Naud | |||
|
Ce « laborantin du dessin », tel qu’il se définit, en perpétuelle recherche et expérimentation, développe |
|||
|
|
une œuvre où « l’homme, ou plutôt une sorte d’homme qui se révélerait à travers ses ramifications |
||
|
animales, organiques, les prolongements de son inconscient, son ambivalence », est central. |
|||
|
Après la fin de ses études à l’Ecole régionale des Beaux-Arts de Nantes en 1994 Pierrick Naud s’est |
|||
|
d' abord orienté vers la musique : pendant 10 ans, il a tourné dans toute la France avec le groupe Namas |
|||
|
Pamos, tout en continuant le dessin – sa passion première – sur un petit carnet qu’il avait toujours sur lui |
|||
|
Mais le dessin s’est rappelé à lui et l’envie de partager ses recherches le pousse à présenter ses |
|||
|
œuvres. Le Ring 2005. |
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| Ce vaste atelier lui permet de fouiller de nouveaux processus de création et d’approfondir son travail | |||
| avec le fusain. Ses séries de dessins sont des images complexes, réalisées à partir de projections de | |||
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rhodoïds juxtaposés retravaillés, effacés, redessinés … Les éléments imbriqués se révèlent peu à peu |
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au regard, telle une photographie en développement. |
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| extrait du texte présentant l'exposition au Lieu Unique Nantes 2006 | |||
| www.lelieuunique.com | |||
| haut de page |
pour tout savoir et voir sur Pierrick Naud |
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Artiste brésilienne (née en 1967) Rivane Neuenschwander développe un travail multiforme dans lequel |
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les thèmes du langage et de la narration sont récurrents. Informée par le mouvement Néo-concret des |
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années 1970 au Brésil, elle parle volontiers d'un "réalisme magique"qu'elle cherche à rendre visible |
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d’une manifestation concrète de phénomènes abstraits. |
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En 2006, elle s’associe à Cao Guimarães (né en 1965) un artiste cinéaste brésilien pour réaliser |
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"Quarta-Feira de Cinzas/Epilogue" (Le Mercredi des Cendres/Epilogue). Ce film dévoile le ballet |
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fascinant des fourmis affairées au transport de confettis qui recouvre le sol après le carnaval, étrange |
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spectacle que cette société animale microscopique, en marche après « l’effusion festive » des hommes. |
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Entre la beauté des couleurs, l’éphémère composition cinétique des confettis et un système de |
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production qui recycle nos rebus, l’oeuvre nous parle d’un quotidien aussi normal qu’extraordinaire. |
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Le tout sur un rythme lointain de samba mêlé aux bruits de la forêt tropicale. |
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| Video HD transférée sur DVD, son stéréo composé par O.Grivo 5 min 48 sec | |||
| extrait du texte présentant l'exposition à la Galerie des Franciscains Saint-Nazaire 2009 | |||
| haut de page |
pour tout savoir sur l'exposition de la galerie des Franciscains |
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| Pan Xi | |||
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Belle de Hangzhou. Femme saule au maquillage éclatant. Troublante féminité. Ovale du visage aux yeux |
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litchis. Bouche cerise, à croquer. Cheveux de nuages mêlés aux brocarts, nuages, pivoines, chimères ... |
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Jeunesse élégante, fragile, précieuse comme la soie ... |
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calme et volupté dans la peinture de Pan Xi. |
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| www.chinesenewart.com | |||
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en permanence à Nantes : galeriedearte@wanadoo.fr |
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| haut de page |
pour tout savoir et voir sur Pan Xi |
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| P. (Pépouin) | |||
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Dialogue avec la matière. | ||
| Le bloc envisagé comme une partition. | |||
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Sculpture vide. Silhouette en creux traversant la pierre. |
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| Identité préservée du matériau. | |||
| Alliance : observation, expression, improvisation. | |||
| Chez Pépouin. | |||
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pour tout savoir et voir sur P; (Pépouin) |
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Sabine Pigalle | ||
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Dans sa série Love is in the hair, la photographe française Sabine Pigalle s'inspire des relations |
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anthropomorphiques que l'homme entretient de tout temps avec le règne animal. |
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L'artiste s'exprime ainsi sur son travail: ... J'ai voulu établir des relations avec la part animale que |
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chacun porte en soi, notamment à tavers le "poil" qui est généralement ce que le monde moderne |
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de la beauté condamne en Occident, en détournant la chevelure et la montrant sous un angle |
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| assez sauvage ... | |||
| J'ai voulu aussi montrer les chiens d'une façon plus abstraite, en ne cherchant pas nécessairement | |||
| à les portraiturer, afin que le regard puisse se concentrer sur "le cheveu" | |||
|
extrait du texte présentant l'exposition Art &mode à l'Abbaye de l'Epau Yvré-l'Evêque 2009 |
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| haut de page |
pour tout savoir sur l'exposition de l'abbaye de l'Epau |
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| Gilbert Piller | |||
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Ah, les fusains de Gilbert Piller. | ||
| Chaleur des gris estompés et traits noirs profonds. | |||
| Matière. | |||
| Corps jeunes entés d'esprit. | |||
| Je les connais depuis près d'un demi-siècle. Et ne me lasse pas de les aimer. | |||
| haut de page | |||
| Paola Pivi | |||
![]() |
Artiste italienne, installée en Alaska, Paola Pivi s'est imposée sur la scène artistique internationale |
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depuis plus de 10 ans avec une démarche qui remet en jeu les conditions de compréhension ce qui fait |
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|
"spectacle". Que cela soit à travers des sculptures, des installations ou des performances (retourner |
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|
un avion, photographier des zèbres sur la banquise, faire circuler un léopard au milieu de de tasses de |
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|
cappuccino…). Paola Pivi crée des situations insolites et ambivalentes qui bouleversent nos repères |
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|
habituels de compréhension du visible. Procédant souvent par l'absurde, elle construit un univers dans |
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lequel le monde naturel et sauvage côtoie l'artifice. De leur rencontre, surgit un niveau de langage visuel |
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encore non formulé qui ouvre au spectateur un espace imaginaire et poétique. |
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| extrait du texte présentant l'exposition au Grand Café Saint-Nazaire 2009 | |||
| haut de page |
pour tout savoir sur Paola Pivi |
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| Philippe Rahm | |||
![]() |
Avec "Plage d'hiver", nous sommes conviés à réinventer la plage, c'est à dire une certaine idée et un | ||
| certain mode d'existence de ce lieu public dont chacun peut jouer librement. | |||
| Fidèle aux logiques qui structurent sa démarche et qui le signalent depuis quelques années comme l'un | |||
| des artistes les plus singuliers de sa génération, Philippe Rahm isole différents paramètres structurants | |||
| de ce qui constitue pour tous sensiblement, une plage : sa température, sa lumière, ses odeurs, | |||
| la modification du poids ou des appuis des corps sur le sol où ils se tiennent, etc... C'est ainsi toute notre | |||
| sensorialité qui se trouve mobilisée. Dans ce jeu d'écart entre idéalité et matérialité balnéaire. Dans ce | |||
| battement de la sensation et de la perception où se réinvente à chaque occurrence notre rapport au | |||
| monde et aux autres. | |||
| Christophe Wavelet | |||
| extrait du texte présentant l'exposition au LIFE | |||
| haut de page |
pour tout savoir sur Philippe Rahm |
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| Ren Han | |||
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Mes travaux dessins et installations, empruntent le labyrinthe, le miroir, le paysage virtuel |
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|
pour évoquer des dualités, ambivalences ou oppositions, des contraires qui sont les clefs |
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|
fondamentales de mes recherches artistiques, et nous replacent face aux paradoxes |
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|
de nos instincts contradictoires. |
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| Ren Han | |||
| www.chinesenewart.com | |||
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pour tout savoir sur Ren Han |
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| Les Requins Marteaux | |||
![]() |
Les Requins Marteaux sévissent dans le domaine de la bande dessinée depuis 1991. Maison d’édition, |
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|
collectif d’artistes, boîte de production, marchands de vin … Les Requins Marteaux sont un peu tout |
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|
cela à la fois. Le moins que l’on puisse dire de leur travail, c’est qu’ils expérimentent, tant sur le plan |
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|
des contenus (politique, humour, aventure, autobiographie …), que sur le plan de la forme, publiant |
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|
ainsi des livres aux formats aussi cocasses qu’inclassables. |
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|
Mais le fer de lance des Requins Marteaux est sans conteste le journal Ferraille illustré, en 1996. |
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|
Plus qu’un magazine, c’est un concept qu’ils déclinent sur tous les supports : le cinéma, le théâtre, |
|||
|
la musique, les tee-shirts … et même l’art contemporain ! |
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|
Les Requins Marteaux sont nombreux au sein de leur petite entreprise à géométrie variable : des |
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|
auteurs, éditeurs, musiciens, vidéastes parfois tout cela à la fois. Ce sont donc des artistes, qui |
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|
se remuent,montent des festivals, des expositions, éditent des livres, font des films … |
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|
Ce sont des artistes engagés. Ils travaillent à l’envie, aux projets et s’en donnent les moyens … |
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|
Ils s’emparent de tous les médiums, se mêlent à toutes sortes d’institutions, bref, tous les moyens |
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sont bons et ils ont bien raison, car ils font ! et faire, c’est bien ! c’est peut-être même ce qu’il y a de |
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|
mieux ! |
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| extrait du texte présentant l'exposition au Lieu Unique Nantes 2009 | |||
| www.lelieuunique.com | |||
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pour tout savoir sur l'exposition et Les Requins Marteaux |
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| Claude Ribot | |||
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Figures articulées. Présence entre le plein et le délié. |
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Femmes, muses, déesses, sont au centre de son oeuvre. |
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A l'image du démiurge. |
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Objets du quotidien, étoiles, soleils, poissons, lunes, et poissons-lunes. |
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Fontaines jaillissantes. Architectures de chair, de rêve et de lumière. |
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| L'oeuvre de Claude Ribot, s'impose à notre réveil. | |||
| haut de page |
pour tout savoir sur Claude Ribot |
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| Ru Xiaofan | |||
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| www.chinesenewart.com | |||
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pour tout savoir et voir sur Ru Xiaofan |
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| haut de page | |||
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Je pourrai essayer d'expliquer rationnellement pourquoi je m'intéresse à cette pente plutôt qu'à une autre, |
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mais je préfère admettre que j'en suis tombé amoureux, et considérer mon travail comme une déclaration |
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d'amour envers elle. |
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Ernesto Sartori |
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| Collection du F.R.A.C Pays de la Loire | |||
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pour tout savoir et voir sur Ernesto Sartori |
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Hui-Kiang Seng |
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Chez Hui-Kiang Seng | ||
| La beauté c'est pas rien, mais presque. | |||
| C'est presque rien qui fait le beau. | |||
| Mandala | |||
| où le souffle emporte le souffle qui l'a créé. | |||
| La frontière est mince, de la cuisine qui fait le bon à celle qui fait le beau. | |||
| La banalité des ingrédients : | |||
| ciel, sel, sucre, vitre, soleil, | |||
| bois, métal, sable. | |||
| Assemblage ludique. | |||
| Recettes que connaissent toutes les petites filles | |||
| qui veulent faire comme maman. | |||
| Poètes du visible, | |||
| priées de revenir sur terre, elles garderont de l'image offerte à notre regard | |||
| la nostalgie de l'enfance. | |||
| Dans ce monde fabriqué pour les grandes personnes. | |||
| www.chinesenewart.com | |||
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pour tout savoir et voir sur Hui-Kiang Seng |
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Sheng Qi |
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En souvenir du 4 juin, Sheng Qi s'est sectionné l'auriculaire gauche. |
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Sur sa paume ouverte, une photographie d'identité jaunissante. |
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Si les souvenirs passent, le corps mutilé reste. Le cliché fait le tour du monde. |
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|
Art de l'éphémère par nature, la perfomance prend l'image comme support |
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|
d'enregistrement, sans se douter que ces reproductions d'une réalité mise en scène |
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|
deviendront dans le monde de l'art contemporain les icônes de la photographie |
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chinoise post-Tiananmen. La relation décisive n'unit plus l'artiste et son sujet, |
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|
mais le performeur - ou son image - et le spectateur. La photographie se théâtralise. |
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Philippe Pataud Célérier |
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La Chine dans l'objectif des Chinois extrait |
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in Le Monde diplomatique N° 706 Janvier 2013 p 14-15 |
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| www.chinesenewart.com | |||
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pour tout savoir et voir sur Sheng Qi |
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Ne pas faire, c'est ne pas faire en
vain,
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faire, c'est aussi faire en vain, |
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|
pour faire en vain, il faut quand même faire. |
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| Song Dong | |||
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in catalogue Créateurs du nouveau monde MC1 2005 |
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| Collection du F.R.A.C Pays de la Loire | |||
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... artiste nantais propulsé vers les sommets de la reconnaissance artistique, il met en scène et incarne |
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une certaine indolence de sa génération dans des dispositifs vidéo. derrière un burlesque à la buster |
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Keaton ou à la Tati, il y a une exploration sans tabou du quotidien et une vérité parfois grinçante. |
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entretien avec Antoine Spire in LE MONDE de l'éducation juillet-août 2003 |
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| Collection du F.R.A.C Pays de la Loire | |||
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pour tout savoir et voir sur Pierrick Sorin |
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Sun Weishiuan |
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Çà, |
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Taches. Points. Lignes. Portées, comme une mélodie. |
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Poésie chinoise où les fleurs prolifèrent. |
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Jeunesse éphémère teinte d'éternité. |
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Fraîcheur, spontanéité. |
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C'est Çà Weishiuan, et sa peinture. |
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| haut de page | www.chinesenewart.com | ||
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pour tout savoir et voir sur Sun Weishiuan |
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Sun Xue |
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Le Grand Peuple c'est la rencontre de l'homme dragon qui, reflet de Xue - chamane - fait liaison |
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entre le ciel et la terre. |
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Questions à Sun Xue : Les griffes de dragon blanc repoussent-elles ? Son souffle forme-t-il les nuages ? |
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Sa salive est-elle parfumée ? Lorsqu'il pleut fait-il un bruit assourdi comme une assiette en bronze ? |
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L'oeuvre de Sun Xue c'est une collecte de reliques. Singularités vivantes encore aujourd'hui, fruits |
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|
d'une culture cinq fois millénaire. Superbe ! |
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| www.chinesenewart.com | |||
| haut de page |
pour tout savoir et voir sur Sun Xue |
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In Tang Yi's installation series, the spaces made of light, lines and shadows, have the regularity |
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of mathematics and the form of abstractness, and seem to want to demonstrate the secret formula |
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hiding in those spaces. |
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A lot of formulas can be made in such spaces, but they need an opportunity to get forms, |
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as million inevitabilities which are potentially suffusing around us and resting on a concrete |
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occasionality to get their forms. |
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Qiu Zhijie |
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| haut de page | www.chinesenewart.com | ||
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pour tout savoir et voir sur Tang Yi |
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Richard Texier |
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![]() |
Richard Texier recrée l’Univers. Ou plus exactement, il régénère l’idée et les images que nous nous |
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|
faisons de notre univers. De tout l’univers balançant comme un pendule entre ses deux infinis, aux valeurs |
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|
tantôt astronomiques et tantôt atomiques. |
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|
Le voici géographe qui redessine les contours des terres et des mers. Il couche sur des cartes marines |
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les îles et les continents improbables aux couleurs d’ambre qui jaillissent de son esprit. La Terre, sa |
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planète, notre planète, est sa passion. Et ce qui la compose et l’entoure son obsession. De celle qui |
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|
frappait les prophètes en quête de conciliabule avec le divin.Certainement qu’il eût aimé vivre avant |
|||
|
qu’on en connaisse les moindres détails, que le mystère de ses rondeurs, de ses angles et de ses |
|||
|
profondeurs nous ait quitté. Que tout nous soit révélé. En ces temps des grands explorateurs, les |
|||
|
territoires inconnus se livraient aux hommes des mers. Aujourd’hui Richard Texier repart en conquête |
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|
l’esprit aux vents et tout le corps penché vers cette tâche. Pour nous offrir ses visions, matérielles et |
|||
|
polychromiques, étranges et magnifiques, de ses cartes du monde. |
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| Hugues Pénot | |||
| haut de page | www.richardtexier.com | ||
|
pour tout savoir et voir sur Richard Texier |
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| Yann Thoreau | |||
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Yann Thoreau poursuit avec opiniâtreté et sans concession une oeuvre de dessinateur et de peintre. | ||
|
Décalé, en marge des courants portés par la vitesse ou la spontanéité, il suggère une impression |
|||
|
de durée qui s'étire, sans limite. "Le dessin et la peinture m'apparaissent comme les seuls moyens |
|||
|
d'appréhender le monde, je ne vois qu'en dessinant" déclare-t-il. |
|||
| Si dans ses dessins il paraît privilégier les formats très réduits, sa peinture recherche toujours l'espace. | |||
| Celui des grands fonds colorés et celui de la figure. Il peint à la tempera sur papier - technique exigeante | |||
| et difficile - ensuite marouflé sur toile, d'une manière que l'on peut qualifier de "classique" | |||
| Tout dans ce travail est marqué par le mûrissement intérieur, une implication profonde faite de | |||
| concentration, de patience et de détermination. | |||
| extrait du communiqué de presse | |||
| www.lelieuunique.com | |||
|
pour tout savoir sur Yann Thoreau |
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| haut de page | |||
| Walasse Ting | |||
|
Rien n'est rigoureux chez Walasse Ting. | ||
| Tout est vibration, explosion. | |||
|
Véritables feux d'artifices, ses couleurs vives, franches, intenses, s'étalent en une multitude de taches |
|||
|
qui semblent se projeter au-delà de la toile. Abstract period |
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|
Son trait pur, minimalisé, fait ressortir la couleur des corps des femmes à la beauté subtile qu'il aime |
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particulièrement représenter. The Black and White world of Walasse Ting |
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Poète, il est lyrique: il nous communique son amour de la vie et de la beauté: univers exubérant, envahi |
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|
de créatures fascinantes, d'insectes et de fleurs multicolores. Rice paintings |
|||
| Danièle Sicard | |||
| haut de page | www.chinesenewart.com | ||
| pour tout savoir sur Walasse Ting: biographie, bibliographie, catalogues, expositions, évènements. | |||
![]() |
Sachons apprécier justement la rigueur architectonique de ses villes, la stylisation des représentations | ||
| humaines et matérielles, la déroutante spatialisation des plans et masses dont les perspectives se | |||
| contredisent, l'énigmatique hiératisme des personnages qui pose question et dévoile tant de symboles : | |||
| le langage ici est celui du silence, qui force notre respect et notre admiration. Ainsi, à chaque fois | |||
| j'entends l'Artiste me dire : " Silence, je peins! ", mais sans le bruit du clap pour le réclamer, seulement | |||
| avec le frémissement de son imagination, de sa culture, de son intelligence, quelques pinceaux et sa | |||
| palette aux si riches chromatismes. | |||
| Jean-Pierre Grivel | |||
|
extrait du texte présentant l'exposition " Hommage au Maître " à la galerie " De Arte " Nantes 2006 |
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| haut de page | galeriedearte@wanadoo.fr | ||
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J’aime pas les choses définitives mais il y a quand même quelque chose de l’éternité qui me plaît |
||
|
beaucoup. Je ne sais pas pourquoi … |
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Daniel Tremblay |
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| Collection du F.R.A.C Pays de la Loire | |||
| haut de page |
pour tout savoir et voir sur Daniel Temblay |
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Tseng Mu-Yun |
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Madame,
Monsieur, |
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|
Femme taiwanaise sérieuse, je voudrais forcément travailler comme la femme |
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|
de chambre chez moi. |
|||
| Autonomie, rigueur et
discrétion sont mes principales qualités. |
|||
|
Je vous prie de recevoir, Madame, Monsieur, mes salutations les plus respectueuses. |
|||
|
|
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|
Tseng Mu-Yun |
|||
| www.chinesenewart.com | |||
| Felice Varini | |||
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Depuis les années 70, Felice Varini - artiste franco-suisse - développe une oeuvre qui se situe en marge |
||
|
de la création picturale. Qu'il s'agisse d'espaces fermés ou de paysages urbains, sa peinture se déploie |
|||
| en dehors du tableau, à même les éléments architecturaux en présence. A Saint-Nazaire, l'ampleur du | |||
| paysage et son caractère industriel, ont renouvelé sa capacité à explorer et révéler l'espace: cette " Suite | |||
|
de triangles" dressée sur 2 kms est la plus grande jamais réalisée par l'artiste. |
|||
|
A partir d'un point de vue situé sur le toit de la terrasse panoramique de la base sous-marine, Felice |
|||
|
Varini matérialise une "ligne horizontale" qui embrasse le paysage du port. Telle une partition, les formes |
|||
|
disposées successivement sur le haut et le bas de cette ligne scandent le paysage en différentes |
|||
|
séquences. L'artiste révèle une forme peinte sur un seul plan, forme qui se détache et se superpose à |
|||
| l'architecture à laquelle elle semble appartenir. Quitter le point de vue de la terrasse revient ici à faire | |||
| l'expérience de la troisième dimension et à assister à l'éclatement de la figure. | |||
| extrait du texte présentant l'oeuvre pérenne - "Suite de triangles " Saint-Nazaire 2007 - estuaire 2009 | |||
| haut de page | www.varini.org | ||
|
pour tout savoir sur estuaire 2009 |
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|
|
Je vois dans ce tableau, outre la virtuosité du peintre qui a su saisir de manière magnifique la matière |
||
|
et la mer, les volumes et la lumière, et qui a un sens hors pair de la composition, une allégorie de l’artiste |
|||
|
qui affronte la difficile tâche qu’est la création. |
|||
|
Le remorqueur - l’homme, l’artiste, le peintre - semble infime et la proie d'un monstre colossal. |
|||
|
Son œuvre est redoutable. De l’inertie formidable du vaisseau, il lui faut l’entraîner dans un mouvement |
|||
|
étroitement balisé et dans une ligne parfaitement définie, alors que s’ouvre l’océan immense et toutes |
|||
|
les directions possibles. L’artiste doit choisir une aventure, un style, une ligne de vie. Prendre un cap ! |
|||
|
Et s’y tenir ! Faire preuve de finesse, d’intuition, d’intelligence pour conduire son œuvre de la toile blanche |
|||
|
au tableau abouti. Et chaque nouvelle toile est un nouveau départ. Avec une autre cargaison, un autre infini, |
|||
|
sous une autre latitude. Pour qui a la fierté de se lancer des défis et l’orgueil de laisser une trace, qu’il soit |
|||
|
écrivain ou musicien, peintre, sculpteur ou architecte, c’est parce qu’il mène ce combat-là, avec |
|||
|
authenticité et opiniâtreté, que l’on peut dire, oui c’est un artiste ! |
|||
| Hugues Pénot | |||
| haut de page |
|
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|
Elle a su mettre à profit sa présence en France, |
||
|
et le faire valoir avec beaucoup de finesse |
|||
|
dans un travail de vidéo extrêmement personnel, profond et spirituel à la fois. |
|||
| Patricia Brignone | |||
| www.chinesenewart.com | |||
| haut de page |
pour tout savoir et voir sur Jing Wang |
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Le corps, c'est tout. Sans artifice. Éclatant, parfois éclaté. En pleine lumière. | ||
| Une économie de moyens. Pas de chichi : rien de superflu. | |||
| Tête sans corps ou corps sans tête, sans teint autre que celui du corps. | |||
| Gel acrylique. Ni dessiné, ni peint. Frémissant. | |||
| Sein posé ou corps reposant sur la fine toile de drap blanc. | |||
| Nu. Vivant. Magnifié. Magnifique ! | |||
| www.chinesenewart.com | |||
| haut de page |
pour tout savoir et voir sur Wang Yu |
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|
A-Sun Wu |
|||
| www.chinesenewart.com | |||
| haut de page |
pour tout savoir et voir sur A-Sun Wu |
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|
Enseignant aux Beaux-Arts du Sichuan. Inventeur du concept "idée-image" qui décrit la genèse |
||
|
de l'art chinois non figuratif et fait le lien avec l'art non figuratif actuel. |
|||
|
Auteur de plusieurs ouvrages. Dans sa peinture il met en pratique ses théories. |
|||
| www.chinesenewart.com | |||
|
pour tout savoir et voir sur Wu Hua |
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|
Pékinois, dessinateur minutieux et introverti, créateur d'un univers étrangement incolore, construit |
||
|
au fusain selon le rythme binaire du noir et du blanc et parfois animé, le temps d'un scénario surréaliste. |
|||
|
... L'énigme reste entière, si bien que l'on s'interroge sur le degré de réalité qui nous est donné à voir. |
|||
|
L'histoire qu'il nous raconte, si histoire il y a, déroge aux lois du récit, n'en dévoilant que des bribes |
|||
|
éparses, incomplètes, codées. La logique est celle du rêve, porteuse d'un inconscient individuel |
|||
|
et collectif, tantôt violent et sombre, tantôt lumineux, comme le désir dont il est, justement, |
|||
|
l'accomplissement manifeste. |
|||
| Céline Piettre |
|||
| haut de page |
extrait de l'article paru dans ParisArt à propos de l'exposition Lost Light |
||
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06.12 17.01 2009 Galerie Patricia Dorfmann Paris |
|||
| Collection du F.R.A.C Pays de la Loire | |||
|
pour tout savoir et voir sur Wu Xiaohai |
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|
|
C'est à se flinguer. |
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|
Faut mieux en rire. |
|||
|
Xiaoping ne manque pas d'humour. |
|||
|
Grinçant. |
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|
Xiaoping a vu le diable. |
|||
|
Il est partout, qui détourne les objets du quotidien. |
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|
Vous rappelle la vie, la mort. |
|||
|
Que l'homme a la cruauté et la perversité de l'enfant. |
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|
Rouge. Quelques traits, un cerf-volant : 2753 morts. |
|||
|
A pleurer. |
|||
| www.chinesenewart.com | |||
|
pour tout savoir et voir sur Wu Xiaoping |
|||
|
|
A Qing |
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Éclaboussures d'eau et d'encre. |
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Paysage intérieur. |
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Entrez. |
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Plus fort que le roc. |
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Miroir du ciel. L'eau fascine. |
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| Rivière étale. Lac frissonnant. | |||
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Main légère. Le poignet délié, s'accorde aux battements d'un coeur gros comme çà. |
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Flânez. Posez vous à l'ombre. |
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Mais craignez de vous laisser emporter comme le pinceau |
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par le courant du fleuve sauvage, tumultueux. |
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Peinture savante. Émouvante. |
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Les gueules des brigands de la galerie de Ming ne sont pas toutes sympathiques et ceci est |
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certainement vrai des brigands du roman, mais la question n'est pas là. Ces types sont pleins de vie, |
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ils nous regardent, ils deviennent présents presque comme des obsessions, exactement comme |
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les brigands-héros du roman. |
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| Ponthus Hulten | |||
| extrait de l'ouvrage Yan Pei-Ming - Au bord de l'eau, 108 brigands, publié par le FRAC des Pays | |||
| de le Loire et le musée Léon Dierx de Saint-Denis de la Réunion | |||
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Lei Yang |
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Mon corps est le support de mes performances. |
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De manière réelle ou fictive, je l'expose au danger |
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et à la violence pour faire l'expérience du risque. |
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L'essentiel reste néanmoins l'action et la production de l'acte. |
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Lei Yang |
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Yang Xiaojian |
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C'est l'ami. Qui sait révéler l'intelligence du noir. |
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Nuages délayés par les souffles, déchirés. Bus par le papier. |
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Massacre de l'écriture pour la faire parler. Evidence. Qui montre ses viscères. |
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Pas d'esthétisme. Abstraction pure, précise, sensible, monumentale. Où parfois le blanc |
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se peint de blanc. |
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Xiaojian s'approprie tous les supports, décline tous les possibles. |
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Sa peinture bat la chamade. D'aujourd'hui, Xiaojian reflète le coeur du monde. |
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Yi Weilin |
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La montagne, c'est le paysage. |
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Derrière l'abstraction, la montagne. |
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Faux. Le paysage est partout |
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La couleur fait écran. |
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La Chine encore, s'invite dans sa peinture. |
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![]() |
Cette capacité à remont(r)er son enfance. Images fraîches coloriées. C'est cela être artiste. |
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Moments intacts. Sans ride. |
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Pas simple. Parfois l'enfant que l'on garde en soi, ne se laisse pas piéger. Les couleurs s'évanouissent |
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et, ou le visage. |
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Qu'importe ! Ces fragments archéologiques du moi, de Yanwu, de vous, car il s'agit de nous, donnent |
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la mesure du temps passé. |
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Le rocher. C'est celui là, non ! A peu près, mais si ! Qui n'a pas cherché à surimposer le paysage qui |
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s'impose à cet instantané vécu comme un paradis perdu ? |
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Il faut aussi regarder ailleurs. Là, encore les mêmes couleurs – car chaque être n'aura vécu qu'avec ses |
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couleurs, ses odeurs, ses saveurs – la même sensibilité, la même délicatesse, la même pudeur. |
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La peinture de Zao Wou-Ki : une plongée au travers du monde phénoménal, un déni de la réalité | ||
| des lieux, des choses, des personnes que nous pouvons vouloir douer d'être. Elle découd ce tissu, | |||
| elle en agite les lambeaux de couleurs diverses, désormais délivrées de la signifiance, | |||
| dans une lumière qui, bien qu'elle soit intense et fascine, n'est pourtant cette fois que son fait brut : | |||
| lumière non-signe, non-promesse, lumière de tellement au-delà de la parole qu'elle n'en est plus | |||
| même une énigme. | |||
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Yves Bonnefoy |
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| extrait de La pensée de Zao Wou-Ki, catalogue de l'exposition Galerie thessa herold Madrid hiver 1998 | |||
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« Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme» |
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Comme un écho à la célèbre maxime attribuée au chimiste et philosophe Antoine Lavoisier, |
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la pratique de Raphaël Zarka questionne le glissement et la migration des formes à travers l'Histoire. |
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Chercheur et collectionneur curieux, on pourrait dire de l'artiste qu'il "rencontre" ces formes, |
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les prélève et les connecte selon une logique à la fois intuitive et philosophique. |
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Qu'il puise dans l'art, la science, la culture et l'industrie, Raphaël Zarka désigne alors certaines |
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coïncidences troublantes et autres résurgences géométriques qui jalonnent les époques |
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et les champs du savoir. |
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| Grand Café Saint-Nazaire 2012 | |||
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pour tout savoir et voir sur Raphaël Zarka |
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Ecrire sur, dans sa peinture, il l'a déjà fait. Graphes mêlés, emmêlés à ces lavis précipités : c'est la vie. |
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Un embrouillamini de traits ( non, ce n'est pas une esquisse ! ). Pelote noueuse avec ses moments |
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fluides comme sa calligraphie. Tout n'est qu'abstraction, noirs profonds et lumière éclatante. |
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De ces dualités surgissent des animaux, s'imposent des visages, identités singulières, des femmes |
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dénudées qui enchantent. |
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Zhang Xuchen |
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Les sentiments ne se communiquent pas par la représentation ni la recherche de la perfection, |
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mais par les étincelles jaillies des frottements de la vision et de l'esprit. |
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Zhang Xuchen |
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| www.chinesenewart.com | |||
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pour tout savoir et voir sur Zhang Xuchen |
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Zhao Li |
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Dans la peinture de Zhao Li, |
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s'expérimentent une fougue passionnée, |
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un élan étincelant de l'esprit - |
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ou bien l'on pénètre avec l'artiste |
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un monde impénétrable |
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à l'imaginaire quiet et paisible. |
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Yin Fu Directeur du Centre Culturel de Chine Paris |
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Zhao Tianjia |
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Une bouffée d'air pur, dans le monde de l'art. Dans le monde, tout court. |
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Habitée. Possédée, Cléo Syncope. |
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L'occasion d'évoquer Artaud, Bacon. Artistes qui flirtent avec la folie. |
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Voyante qui - son pseudo est tout un programme - déchire le voile. |
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Se projette dans l'au-delà. |
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Vert cupide. Bleu dépression. |
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Avec sa vision rimbaldienne. |
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Fulgurance dans notre nuit. |
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Mengzhi Zheng |
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Je cherche à manipuler le réel. |
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Je souhaite faire émerger une trace de ce qui aurait été entre réalité et fiction : un réel rêvé. |
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Entre le volume et le plat, ma pratique de fabrications d'espaces se positionne à la limite |
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entre sculpture et architecture d'habitat. |
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J'écrase les reliefs de paysages citadins, jadis photographies et vidés de toute présence humaine. |
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L'ensemble est un tout que j'organise et réorganise dans l'espace. |
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Mengzhi |
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Zhou Gang |
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Sa peinture n’est pas une transcription abstraite, |
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elle reste au contraire profondément attachée à la nature. |
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Ainsi en évoquant le cycle des saisons, |
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le peintre ne décrit pas les apparences |
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mais la dynamique secrète des éléments. |
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Éric Lefebvre Conservateur du Musee des Arts d'Asie - Cernuschi |
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